CITATION

Leighton Meester

Gemma RYKIEL Nom :: Rykiel Prénom :: Gemma Age :: 18 ans Nationalité :: Italienne Métier :: Statue :: Alone Groupe :: Sport Addict

Ce que j'ai de plus précieux
Mon caractère

→ Je sais; tout le monde (ou presque) me déteste. C’est d’autant plus amusant pour moi. J’ai le luxe dans la peau, je suis snob, hautaine, glaciale, tout ce qu’il faut pour qu’on parle de moi. Et ça marche.

J’ai juste besoin de savoir que je peux compter sur les gens. Bien, qu’ils ne peuvent pas forcément compter sur moi, mais bien sûr, je me garde de leur dire. Pour entrer dans mon cercle, il faut avoir fait quelque chose d’extraordinaire, ou bien être extraordinaire tout court. Je sais que je suis persuasive, et capable d’avoir tous les hommes à mes pieds. Si je devais dire une phrase spontanément me décrivant, ça serait, La Fin Justifie Les Moyens. Ce dicton est très clair. Je suis prête à tout pour avoir ce que je guette. Je suis manipulatrice, séductrice. Qui ose me défier? J’ai rarement la tête à rire. Il faut avouer que je n’ai pas un humour fracassant, mais un égo fracassant, ça oui. J’ai toujours raison.

Seulement, tout ce que je viens de dire c’est une couverture. Je suis sensible. Et vulnérable. Je le sais. Je me laisse facilement entrainer dans des histoires glauques. Un jour, plus personne ne pourra m’aider, et je vais devoir me débrouiller toute seule «  comme une grande ».

Pour entrer dans les détails, … J’ai du mal à me confier. Il est difficile de savoir à qui faire confiance dans ce monde, à qui parler, sans que tout le quartier soit au courant le lendemain. Mystérieuse, généralement. Les garçons veulent tout savoir de moi. J’ai le don de créer des alchimies. Ne suis-je pas un dangereux produit chimique à moi toute seule ?

Ai-je oublié que je suis (très) prétentieuse?

Ce qui fait que je suis moi
Mon physique

→ Parfaite ? Ca ne serait pas un mot magnifique pour me décrire ? Si vous n’êtes pas convaincu, je vais rentrer dans les détails.

Je suis brune, aux yeux sombres. Le visage rond, les sourcils arqués, et les yeux observateurs donnent une impression de déjà-vu aux gens. J’ignore pourquoi. Il parait que j’ai les yeux de mon père. Honnêtement je n’espère pas. Je ne le vois jamais, c’est tout juste si je sais à quoi il ressemble. Mes cheveux sont toujours impeccables, qu’importe le temps qu’il fasse dehors.
J’ai le cou fin et les épaules arrondies, tout cela est dû à mes quelques années de danse. Ma taille est fine, mes hanches sont aussi larges que mes épaules et mes jambes sont longues. Ma peau est légèrement bronzée, et mon teint sans défaut. Honnêtement, je ne me lasse pas de me regarder. Vous ne me trouvez toujours pas parfaite ? Honte à vous.

Il faut bien que j'existe
Mon histoire

→ Franchement. Je sais que quand vous me voyez, vous n’avez qu’une envie, me foutre une claque. Je le sais. Mais qu’est-ce que j’y peux si je suis née avec cette petite cuillère en argent de la bouche? Papa, PDG d’une entreprise qui rapporte, je n’en retiens jamais le nom d’ailleurs. Et maman, designer. Vous savez de quoi ça retourne vous ? Pas moi. D’ailleurs, mes parents n’ont jamais été là pour m’expliquer leur métier. A part mes nourrices, mes deux frères, Lucas, 22 ans, et Peter, 21 ans, j’ai toujours appris à ne compter que sur moi-même. Mais moi, je connais les bonnes manières et la politesse, et ce depuis toute petite. Cependant, la politesse est juste le reflet de la superficialité. Je ne pense pas un traitre mot de gentillesse quand j’ai besoin d’obtenir quelque chose.

J’ai grandi dans les soirées que donnaient mes grands frères. Eux, au moins, ne m‘obligeait pas à me coucher à 20h. J’ai très vite compris ce qu’était la vraie vie. Ou plutôt comment devait être ma vie, : Enfant parfaite le jour, dans mon école privée catholique très sélecte, et demoiselle désinvolte le soir, ne se souciant de rien. J’ai toujours été le genre idéal pour mes parents. La petite dernière de la famille, qu’on citait toujours en exemple. « Prenez exemple sur votre cadette. » Mes deux frères, qui me jetaient leur regard noir et complice à la fois. Ils savaient que je ne valais pas mieux qu’eux.

Étant d’honnêtes gens, doués et cultivés, comme nos parents. Mes deux frères et moi avons du apprendre un instrument. Lucas le piano, Peter le violon et moi la flûte. Je voulais apprendre la guitare. Mais cet instrument n’avait aucune estime pour les oreilles de Papa et Maman. Quelle idiotie, la flûte. Je n’ai jamais eu la moyenne à mes examens. Je n’ai jamais joué de notes justes. Mais peu importe pour mes parents. On devait être doué en quelque chose. Ils n’avaient jamais voulu m’inscrire à mes cours de danse moderne. Peter m’avait inscrite dans leur dos. J’étais assidue et ne manquait jamais. Et puis un jour, mes parents m’ont forcé à faire de l’équitation. Je n’aimais pas du tout ça. Et ce qui je redoutais le plus arriva, une très mauvaise chute, qui m’a valu deux semaine d’hôpital. Trois côtes, le bras droit et la cheville droite cassées. Je n’ai jamais pu reprendre la danse. Mon Dieu que je les déteste. Mon Dieu, nous sommes déclarés comme Catholiques dans la famille. J’ai cependant la nette impression que je suis à la seule à m’en foutre totalement.

Les limites. Ce mot, dont je n’ignore la signification. Je n’ai jamais eu de limites dans tous les sens du terme. J’ai toujours eu ce que je désirais, j’ai toujours fait ce que je voulais. Au moins, je n’ai grandi dans l’ombre de personne. Je vivais à la lumière électrique des boites les plus branchées et les plus hype. Je n’ai rien connu d’autre que le carré VIP, et j’avais pour unique ressource le compte en banque de Papa et Maman.

Il m’arrive parfois d’en avoir marre, de devoir sans cesse me montrer au top quand je vais très mal. J’aspirais parfois à changer de vie, vivre autrement, avec un autre entourage. Plus je réfléchissais, plus je m’apercevais que mon monde était un engrenage dans lequel on ne sort pas. « L’argent vous pourri. Mais vous aimez l’argent. » C’est-ce qu’avait osé me dire un SDF, car j’avais refusé de lui donner quelques centimes. « Vous n’avez qu’à travailler. » Ce que je lui ai dit, et ce que je pensais. Je réalisais que j’aimais mon train de vie plus que tout, faire semblant d’être malheureuse été une imposture. J’aimais ça. J’aime ça.

Je suis mannequin en ce moment. Je suis toujours en retard à mes shootings, il m’arrive même parfois de ne pas y aller. Ils auraient du me virer depuis longtemps. Ils ne le feront pas. Je suis bien trop importante? Vous trouvez ? Oh, et puis, peu importe.

Prénom :: Emy Age :: 15 Comment trouves-tu le forum :: Génial. Ok j'ai tardé à faire ma présentation Comment l'as-tu découvert :: Par Mikadoo Ta présence dessus :: Régulière Un commentaire ::Hum x) Il faut que j'aille créer mon scénario ^^